Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
On connaissait la colocation, le covoiturage, voici le partage… de place de parking. Une idée lancée par Lachhab Azzedine qui pourrait bien faire école particulièrement dans les grandes villes où se garer est de plus en plus difficile. « Pendant que de nombreuses places de parking restent inoccupées la journée, des centaines d'automobilistes tournent chaque jour à la recherche d'une place de parking proche de leur lieu de travail. Le même type de scénario se produit la nuit où des places restent vacantes alors qu'elles pourraient être utilisées », explique le fondateur de www.sharedparking.fr qui estime que toutes les places de parking peuvent être concernées par ce système : parc extérieur, parking souterrain, parc d'entreprise.