Par Arnaud Marquant, directeur des opérations KB Crawl SAS À l'aube d'une nouvelle ère numérique, la Journée mondiale de la sauvegarde des données, célébrée le 31 mars, nous offre un moment de réflexion critique sur notre rapport aux données. Dans une époque marquée par une digitalisation accrue, la sauvegarde des données se positionne au cœur des débats sur la sécurité, la conformité et la continuité des activités. De bonnes pratiques de sauvegarde essentielles La sauvegarde des données commence par des gestes simples mais cruciaux d'hygiène numérique, préconisés par des institutions telles que l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) en France. Ces mesures de base incluent la réalisation de copies de sauvegarde régulières, la mise à jour des systèmes et des applications, ainsi que la sensibilisation à la cybersécurité. Le renforcement du cadre juridique autour de la gestion des données personnelles, comme le Règlement général sur la pro
Rompre l'isolement des patients hospitalisés est devenu un enjeu majeur pour les structures de santé. Au-delà de la télévision, les malades souhaitent aujourd'hui pouvoir disposer d'internet pour pouvoir s'informer, se divertir, communiquer avec leur entourage, etc. C'est pour répondre à ce besoin que l'Institut Claudius Régaud, spécialisé à Toulouse dans la lutte contre le cancer, va inaugurer lundi prochain un cyberespace, financé à hauteur de 20 000 € par l'action du Toulouse Salsa Club. Dans le cadre de l'opération « cyberclaudius », le cyberespace « permet de proposer aux patients, gratuitement, tout un équipement multimédia, comprenant des ordinateurs avec webcams reliées à internet, un espace détente comprenant un home cinéma avec fauteuils relaxants », explique l'Institut. Par ailleurs « dans les chambres, il a mis à la disposition des enfants malades neuf ordinateurs portables afin qu'ils puissent communiquer avec leur famille et amis. »
« Cette initiative regonfle le moral des plus jeunes, de leurs parents et de l'ensemble des patients », assure l'Institut, rappelant que certains traitements imposant des visites limitées, ces dispositifs sont donc très utiles.
L'initiative toulousaine rejoint celles menées depuis le début des années 2000 partout en France. Progressivement, les hôpitaux s'équipent comme celui de Pau, qui s'est appuyé sur le réseau très haut débit de la ville, pour proposer à ses patients un service de vidéo à la demande, via internet. De grands constructeurs informatiques s'impliquent aussi dans ce type de projets comme IBM ou Toshiba.
« Cette initiative regonfle le moral des plus jeunes, de leurs parents et de l'ensemble des patients », assure l'Institut, rappelant que certains traitements imposant des visites limitées, ces dispositifs sont donc très utiles.
L'initiative toulousaine rejoint celles menées depuis le début des années 2000 partout en France. Progressivement, les hôpitaux s'équipent comme celui de Pau, qui s'est appuyé sur le réseau très haut débit de la ville, pour proposer à ses patients un service de vidéo à la demande, via internet. De grands constructeurs informatiques s'impliquent aussi dans ce type de projets comme IBM ou Toshiba.