Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Les apéros sur Facebook, les informations de la révolution iranienne sur Twiter, les groupes de musiques amateurs ou professionels sur MySpace, les vidés du petit dernier sur Youtbu, etc.. Les réseaux sociaux ont envahi notre quotidien mais, au-delà des plus connus, il existe plusieurs dizaines de réseaux que Louis-Serge Real Del Sarte vient de recenser dans son ouvrage «Les réseaux sociaux sur internet» (Ed. Alphée, 432 p., 21,90€). «Comment choisir le réseau qui correspond à nos attentes et l'intégrer pour développer ou valoriser nos compétences, dynamiser nos projets, rencontrer, trouver un emplio. Comment aborder les arcanes du net pour construire notre propre réseau et devenir expert» ?» Deux questions auxquelles répond l'auteur qui a passé au peigne fin les 500 principaux réseaux mondiayx. Ce dico des réseaux prodigue également de nombreux conseils, notamment sur la préservation des données personnelles.