Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Ce sondage a tout d’abord permis de dresser un « portait » des blogueurs, rétablissant ainsi certaines vérités ! La motivation des blogueurs : 80% d’entre eux le font pour échanger et partager sur leur passion. Autre enseignement, l’aspect financier : 60% ne perçoivent aucune rémunération grâce à leur blog.
Cette implication personnelle et sans rétribution financière engage d’autant plus les annonceurs et les agences à être particulièrement vigilants sur leurs sollicitations.
En effet, l’autre enseignement fort de ce sondage est sans nul doute le fait que les blogueurs aspirent à de meilleures relations avec les agences et les annonceurs. Dans cette optique, près des 3/4 des blogueurs (73,13%) aimeraient plus de personnalisation lorsqu’ils sont contactés. Cette personnalisation de la relation avec les blogueurs doit également s’inscrire dans une approche plus qualitative : plus de la moitié des répondants (55,22%) souhaitent que les annonceurs et les agences ciblent mieux leurs demandes, voire même que les demandes soient plus claires (36,57%).