Les députés européens ont adopté hier des règles pour encadrer les systèmes d’intelligence artificielle (IA) comme ChatGPT d’OpenAI, faisant de l’Europe le premier continent doté d’une législation sur le sujet. Le commissaire européen chargé du Numérique, Thierry Breton, s’est félicité sur X du "soutien massif" du Parlement (523 voix pour, 46 voix contre) au texte, qui avait fait l’objet de tractations et d’interrogations entre la nécessité de réguler et celle de ne pas freiner les innovations face aux concurrents chinois ou américains. "Cela profitera au formidable réservoir de talents de l’Europe. Et établira un modèle pour une IA digne de confiance dans le monde entier", a souligné de son côté la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, évoquant une législation "pionnière". Ce projet de loi avait été présenté par la Commission européenne en avril 2021. Une législation à deux niveaux La législation prévoit une approche à deux niveaux
Le profil Internet des Français : première source d’information pour les voleurs d’identité sur Internet
Reconnue comme délit pénal, l’usurpation d’identité sur Internet est aujourd’hui « sanctionnable » comme dans le monde physique. L’étude réalisée par Toluna pour Affinion International, leader du marketing relationnel en France, révèle le classement des canaux d’usurpation d’identité les plus utilisés sur Internet. En tête, le profil Internet des Français, via les réseaux sociaux notamment, qui représente près de 40% des usurpations d’identité.
TOP 3 des sources d’usurpation d’identité numérique en France
Et si les réseaux sociaux étaient devenus le terrain de jeu des voleurs d’identité ? C’est du moins ce que révèle l’étude Toluna pour Affinion International.
En France, 39% des victimes d’usurpation d’identité le sont via leur profil Internet. Sur Facebook, Twitter, LinkedIn, SnapChat, etc… les usurpations d’identité se sont multipliées au rythme du développement exponentiel de ces réseaux sociaux. Qui sont les plus exposés à l’atteinte de leur vie privée via leur profil numérique ? Au premier chef, les 18-34 ans puisqu’une victime sur 2 est un jeune adulte. Suivent ensuite les les 35-54 ans (35%) et les séniors de 55 ans et plus (17%).
L’e-mail avec tentative d’extorsion de données arrive au second rang des moyens utilisés sur Internet puisque 1 victime de vol d’identité sur 3 l’est via le courrier électronique.
La tactique des voleurs d’identité, connue sous le terme d’hameçonnage ou de phishing, repose sur l’envoi d’un email invitant l’internaute à se connecter par le biais d’un lien hypertexte. Les plus exposés à ce type de fraude sont en priorité les séniors (40%).
3ème canal d’usurpation d’identité : l’achat en ligne. 32% des victimes de vol d’identité le sont suite à une transaction sur un site web.
Là encore, les séniors sont les plus exposés. En effet, les plus de 55 ans représentent une part de 40% des victimes du e-commerce.
Reconnue comme délit pénal, l’usurpation d’identité sur Internet est aujourd’hui « sanctionnable » comme dans le monde physique. L’étude réalisée par Toluna pour Affinion International, leader du marketing relationnel en France, révèle le classement des canaux d’usurpation d’identité les plus utilisés sur Internet. En tête, le profil Internet des Français, via les réseaux sociaux notamment, qui représente près de 40% des usurpations d’identité.
TOP 3 des sources d’usurpation d’identité numérique en France
Et si les réseaux sociaux étaient devenus le terrain de jeu des voleurs d’identité ? C’est du moins ce que révèle l’étude Toluna pour Affinion International.
En France, 39% des victimes d’usurpation d’identité le sont via leur profil Internet. Sur Facebook, Twitter, LinkedIn, SnapChat, etc… les usurpations d’identité se sont multipliées au rythme du développement exponentiel de ces réseaux sociaux. Qui sont les plus exposés à l’atteinte de leur vie privée via leur profil numérique ? Au premier chef, les 18-34 ans puisqu’une victime sur 2 est un jeune adulte. Suivent ensuite les les 35-54 ans (35%) et les séniors de 55 ans et plus (17%).
L’e-mail avec tentative d’extorsion de données arrive au second rang des moyens utilisés sur Internet puisque 1 victime de vol d’identité sur 3 l’est via le courrier électronique.
La tactique des voleurs d’identité, connue sous le terme d’hameçonnage ou de phishing, repose sur l’envoi d’un email invitant l’internaute à se connecter par le biais d’un lien hypertexte. Les plus exposés à ce type de fraude sont en priorité les séniors (40%).
3ème canal d’usurpation d’identité : l’achat en ligne. 32% des victimes de vol d’identité le sont suite à une transaction sur un site web.
Là encore, les séniors sont les plus exposés. En effet, les plus de 55 ans représentent une part de 40% des victimes du e-commerce.