Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Par Chris Huff, Directeur de la stratégie, Kofax L'industrie est intrinsèquement complexe, avec plus de composants que jamais auparavant. Les chaînes de production sont géographiquement diversifiées. Les exigences réglementaires évoluent continuellement. Des quantités massives d'informations sont souvent stockées à l'extérieur des applications de l'organisation et sont difficiles, voire impossibles à accéder en cas de besoin. Et de nombreux fabricants s'appuient encore sur des processus qui consistent en grande partie, sinon entièrement, à effectuer des tâches manuelles et/ou sur papier, ce qui mine la productivité. Heureusement, la majorité des fabricants sont désireux d'explorer la voie de l'automatisation, c'est-à-dire de s'éloigner de cette façon habituelle de travailler pour travailler comme l'entreprise de demain. Et beaucoup ont commencé à prendre les devants. Une enquête mondiale de Forbes Insights a révélé que 48% des organis