Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...

Aucune banque ne voulant financer le projet, c’est une connaissance de Jobs qui apportera les 250000$ nécessaires en 1977. Le succès de l’Apple II, premier ordinateur à affichage couleur, est fulgurant. Apple prend alors son logo : une pomme en hommage à Isaac Newton. En 1979 sort l’Apple II + puis l’Apple III et l’AppleIII +. En 1979 toujours, Steve Jobs visite le Xerox Parc et a la formidable intuition que les prochains ordinateurs fonctionneront avec une interface graphique.Malgré les échecs de l’AppleIII et de Lisa, Apple rebondit avec le Macintosh (2) dévoilé en janvier 1984 lors du Super Bowl. Pour cet ordinateur tout en un avec souris, c’est le succès : 100000 unités vendues en six mois.
Chute et renaissance avec l’iPod
Mais Apple, au contraire d’IBM, refuse des clones de Macinstosh. Résultat : une perte inexorable de parts de marchés. Steve Jobs quitte la société en 1985; les nouveautés se font rares tandis que Microsoft et son Windows gagnent du terrain. Les licenciements chez Apple s’enchaînent, les PDG se succèdent ; les erreurs stratégiques aussi. En 1997, Steve Jobs revientcomme PDG « intérimaire.» Les fans d’Apple y voient le signe d’un renouveau. Celui-ci viendra de l’iMac (4, 6) en 1998. Avec un design inédit de Jonathan Ive et des couleurs acidulés face à des PC ternes, l’iMac est un succès : 8000000 unités vendues en 1998. Le portable iBook suit la même voie. Apple renoue avec le succès et avec l’innovation : ordinateurs et système d’exploitation MacOS puissants, etc.
Chute et renaissance avec l’iPod
Mais Apple, au contraire d’IBM, refuse des clones de Macinstosh. Résultat : une perte inexorable de parts de marchés. Steve Jobs quitte la société en 1985; les nouveautés se font rares tandis que Microsoft et son Windows gagnent du terrain. Les licenciements chez Apple s’enchaînent, les PDG se succèdent ; les erreurs stratégiques aussi. En 1997, Steve Jobs revientcomme PDG « intérimaire.» Les fans d’Apple y voient le signe d’un renouveau. Celui-ci viendra de l’iMac (4, 6) en 1998. Avec un design inédit de Jonathan Ive et des couleurs acidulés face à des PC ternes, l’iMac est un succès : 8000000 unités vendues en 1998. Le portable iBook suit la même voie. Apple renoue avec le succès et avec l’innovation : ordinateurs et système d’exploitation MacOS puissants, etc.
La 2e génération d’iMac, abordable et performante, confirme le renouveau. Steve Jobs joue alors un coup de maître en avril 2003 avec l’iPod (3, 7), un lecteur de fichiers numériques musicaux MP3, couplé au logiciel et magasin en ligne iTunes. Succès fulgurant : 14 millions d’unités vendues. Grâce à l’iPod, Apple – dont les ordinateurs représentent 2 à 2,5 % du marché – réussit sa diversification. Elément capital, l’iPod va conditionner la stratégie d’Apple dans la conquête du grand public pour les loisirs numériques (audio, video, téléphonie) des mois à venir.