Face aux escroqueries en ligne, le gouvernement a décidé de hausser le ton. Le 30 mai, une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité a été dévoilée par le ministère de l’Intérieur, dans un contexte marqué par une explosion des arnaques en ligne et une professionnalisation inquiétante des acteurs criminels. Fraudes au faux conseiller bancaire, rançongiciels, usurpation d’identité, blanchiment par crypto-actifs : le champ d’action des cybercriminels ne cesse de s’étendre et de se structurer. En 2023, 278 770 atteintes numériques ont été recensées, en hausse de 40 % en cinq ans. Le préjudice est estimé à plusieurs milliards d’euros par an. Face à cette menace systémique, l’État engage une riposte à la fois technique, judiciaire et diplomatique. Placée sous l’égide du COMCYBER-MI, la stratégie s’articule autour de quatre piliers : anticipation, opérationnalité, expertise et coopération. Elle entend détecter plus tôt les signaux faibles, renfor...

Aucune banque ne voulant financer le projet, c’est une connaissance de Jobs qui apportera les 250000$ nécessaires en 1977. Le succès de l’Apple II, premier ordinateur à affichage couleur, est fulgurant. Apple prend alors son logo : une pomme en hommage à Isaac Newton. En 1979 sort l’Apple II + puis l’Apple III et l’AppleIII +. En 1979 toujours, Steve Jobs visite le Xerox Parc et a la formidable intuition que les prochains ordinateurs fonctionneront avec une interface graphique.Malgré les échecs de l’AppleIII et de Lisa, Apple rebondit avec le Macintosh (2) dévoilé en janvier 1984 lors du Super Bowl. Pour cet ordinateur tout en un avec souris, c’est le succès : 100000 unités vendues en six mois.
Chute et renaissance avec l’iPod
Mais Apple, au contraire d’IBM, refuse des clones de Macinstosh. Résultat : une perte inexorable de parts de marchés. Steve Jobs quitte la société en 1985; les nouveautés se font rares tandis que Microsoft et son Windows gagnent du terrain. Les licenciements chez Apple s’enchaînent, les PDG se succèdent ; les erreurs stratégiques aussi. En 1997, Steve Jobs revientcomme PDG « intérimaire.» Les fans d’Apple y voient le signe d’un renouveau. Celui-ci viendra de l’iMac (4, 6) en 1998. Avec un design inédit de Jonathan Ive et des couleurs acidulés face à des PC ternes, l’iMac est un succès : 8000000 unités vendues en 1998. Le portable iBook suit la même voie. Apple renoue avec le succès et avec l’innovation : ordinateurs et système d’exploitation MacOS puissants, etc.
Chute et renaissance avec l’iPod
Mais Apple, au contraire d’IBM, refuse des clones de Macinstosh. Résultat : une perte inexorable de parts de marchés. Steve Jobs quitte la société en 1985; les nouveautés se font rares tandis que Microsoft et son Windows gagnent du terrain. Les licenciements chez Apple s’enchaînent, les PDG se succèdent ; les erreurs stratégiques aussi. En 1997, Steve Jobs revientcomme PDG « intérimaire.» Les fans d’Apple y voient le signe d’un renouveau. Celui-ci viendra de l’iMac (4, 6) en 1998. Avec un design inédit de Jonathan Ive et des couleurs acidulés face à des PC ternes, l’iMac est un succès : 8000000 unités vendues en 1998. Le portable iBook suit la même voie. Apple renoue avec le succès et avec l’innovation : ordinateurs et système d’exploitation MacOS puissants, etc.
La 2e génération d’iMac, abordable et performante, confirme le renouveau. Steve Jobs joue alors un coup de maître en avril 2003 avec l’iPod (3, 7), un lecteur de fichiers numériques musicaux MP3, couplé au logiciel et magasin en ligne iTunes. Succès fulgurant : 14 millions d’unités vendues. Grâce à l’iPod, Apple – dont les ordinateurs représentent 2 à 2,5 % du marché – réussit sa diversification. Elément capital, l’iPod va conditionner la stratégie d’Apple dans la conquête du grand public pour les loisirs numériques (audio, video, téléphonie) des mois à venir.