Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...

Une petite association qui organise un concert ou une amicale qui propose un spectacle n'ont pas forcément les moyens de créer et gérer toute l'infrastructure d'une billetterie. C'est là qu'intervient Weezevent (www.weezevent.com). Depuis mars 2009, cette société propose la première solution française de création de billetterie en ligne en self-service. « L'ambition de Weezevent est de se positionner comme une solution complémentaire et/ou de substitution aux réseaux traditionnels de distribution de billets de spectacles (France Billet, Tickenet, Digitick) », expliquent les fondateurs. Après avoir créé un compte, l'utilisateur décrit son événement (date, lieu…), configure sa billetterie et peut instantanément commencer à vendre ses billets/places sur Internet en acceptant les paiements par carte bancaire. L'atout de Weezevent : une commission de 2,5 % par billet vendu.