Face aux escroqueries en ligne, le gouvernement a décidé de hausser le ton. Le 30 mai, une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité a été dévoilée par le ministère de l’Intérieur, dans un contexte marqué par une explosion des arnaques en ligne et une professionnalisation inquiétante des acteurs criminels. Fraudes au faux conseiller bancaire, rançongiciels, usurpation d’identité, blanchiment par crypto-actifs : le champ d’action des cybercriminels ne cesse de s’étendre et de se structurer. En 2023, 278 770 atteintes numériques ont été recensées, en hausse de 40 % en cinq ans. Le préjudice est estimé à plusieurs milliards d’euros par an. Face à cette menace systémique, l’État engage une riposte à la fois technique, judiciaire et diplomatique. Placée sous l’égide du COMCYBER-MI, la stratégie s’articule autour de quatre piliers : anticipation, opérationnalité, expertise et coopération. Elle entend détecter plus tôt les signaux faibles, renfor...

Une petite association qui organise un concert ou une amicale qui propose un spectacle n'ont pas forcément les moyens de créer et gérer toute l'infrastructure d'une billetterie. C'est là qu'intervient Weezevent (www.weezevent.com). Depuis mars 2009, cette société propose la première solution française de création de billetterie en ligne en self-service. « L'ambition de Weezevent est de se positionner comme une solution complémentaire et/ou de substitution aux réseaux traditionnels de distribution de billets de spectacles (France Billet, Tickenet, Digitick) », expliquent les fondateurs. Après avoir créé un compte, l'utilisateur décrit son événement (date, lieu…), configure sa billetterie et peut instantanément commencer à vendre ses billets/places sur Internet en acceptant les paiements par carte bancaire. L'atout de Weezevent : une commission de 2,5 % par billet vendu.