Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...

En 2008, les sites d'e-commerce ont réalisé 14 milliards d'euros de volume d'affaires, en hausse de 20 % sur un an, selon l'étude annuelle de Benchmark Group sur le commerce électronique en France. Pour 2009, l'institut table sur une croissance de 8 %. Pour autant, nombre de Français rechignent à effectuer des achats par internet, effrayés à l'idée de donner leur numéro de carte bancaire. C'est pour eux que Central Télécom, alliée à Ukash, le leader britannique du webpaiement, propose une solution avec la carte Tonéo. Il suffit de se procurer la carte Tonéo dans l'un des 30 000 points de vente (bureaux de tabac, points presse, stations service…), puis de se rendre sur www.toneo3.com pour transformer le crédit de sa carte Tonéo (7,5, 15 ou 50 €) en bon de paiement Ukash. Une fois ce code obtenu, le client peut accéder à des centaines de sites internet (jeux, musique, rencontres…) et dépenser ainsi son crédit Ukash en toute sécurité.