Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...

Les pays anglo-saxons sont habitués à parier sur tout et n'importe quoi avec les bookmakers. La législation française interdit - en attendant une libéralisation - l'exercice de ces bookmakers en raison du monopole des paris sportifs attribués à la Française des jeux et au PMU. Mais rien n'empêche de se lancer des paris entre amis. Tel est l'objectif du site Paris d'amis (http://www.paridamis.com/). « Notre site propose aux internautes de parier gratuitement sur l'actualité (sportive, économique, sociétale ou autre) afin de gagner des cadeaux », explique Andrew Lam, qui met en avant le « positionnement convivial du site, associé à un mode de cotation inspiré des marchés boursiers. » Les membres peuvent créer leurs paris et parier grâce aux 10 000 PEZ offerts lors de l'inscription (les PEZ étant la monnaie virtuelle du site). Les PEZ seront convertis en cadeaux.