Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...

L'informatique et les animaux ont toujours fait bon ménage et chacun se souvient sans doute des tamagotchis, ces animaux virtuels. Avec Zanibook (www.zanibook.com), c'est aux animaux en chair et en os que l'on s'intéresse. « Zanibook, le premier réseau social pour animaux de compagnie » proclame la page d'accueil qui ne laisse pas de doute : le site est aux animaux ce que Facebook est aux humains. Christophe Garnier, fondateur du site et gérant d'une boutique d'animaux en Belgique, explique avoir lancé Zanibook pour permettre aux éleveurs ou propriétaires de races particulières d'entrer en contact. Comme sur Facebook, chaque animal (chien, chat, cheval, lapin, etc.) a son profil personnel, noue des relations avec ses congénères, participe à des forums thématiques. Zanibook a déjà conquis 10 000 adhérents.