Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Alors que se déroule aujourd'hui la 7e édition du Saffer Internet Day pour un internet plus sûr, l'éditeur de jeux vidéo Kazago va lancer d'ici quelques semaines « Nooja » (www.nooja.com) son premier jeu destiné aux enfants à partir de 7 ans. « Nooja est un jeu en ligne communautaire dans lequel on retrouve ses amis pour tchatter, danser, faire la fête et jouer en toute sécurité », expliquent les concepteurs. Créer et personnaliser son avatar, s'ouvrir aux autres et s'entraider pour mener à bien des missions, etc. Une équipe de modérateurs professionnels anime le jeu ; un système de filtrage en temps réel évite les incivilités et les échanges de données personnelles ; et un écran de contrôle parental permet de gérer les plages horaires de jeu. Nooja, qui ne comporte pas de publicité, sera disponible gratuitement avec une option à 5 € par mois.