Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Pour la première fois, un éditeur s’investit sur l’iPhone. Taschen vient en effet de développer une application Taschen’s New York qui est un guide touristique pour New York. Cette édition multilingue (anglais, français, allemand) propose plus de 100 recommandations d’Angelika Taschen, une recherche en texte intégral, une liste de favoris personnalisables et l’intégration de Google Maps. Taschen, qui prévoit une version pour Paris et Londres, s’inscrit dans la ligne des guides connectés.