Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Il y a un an, l'étude Nutrinet Santé, financée par le ministère de la Santé et des Sports, l'INPES, l'InVS, l'Université Paris13, l'INSERM, l'INRA, le Cnam et la Fondation pour la Recherche Médicale, lancer le recrutement d'internautes pour participer à cette enquête pour étudier les relations entre nutritions et santé. Grâce à 131 342 personnes inscrites sur www.etude-nutrinet-sante.fr, les chercheurs ont obtenu des premiers résultats. D'ici 4 ans, il devrait y avoir 500 000 personnes inscrites.