Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Le développement économique fulgurant du pays le plus peuplé de la planète se traduit sur les routes des métropoles chinoises par des embouteillages monstres – 10 millions de voitures ont été vendues l’an passé – et une pollution conséquente. Pour résoudre ces deux problèmes majeurs, la société Shenzhen Hashi Future Parking Equipment Co. vient d’imaginer le projet fou d’un bus géant dont la vidéo de présentation, dévoilé à l’International High-Tech expo de Pékin, suscite un buzz important sur internet.
Concrètement, il s’agit d’une sorte de tramway géant articulé de 6 mètres de large pour 4,5 à 5,5 mètres de haut, qui surplombe la chaussée et qui permet aux automobiles de passer dessous. Ainsi, à aucun moment, ce bus qui roule à 40 km/h, ne bloque la circulation. Les stations seront construites en hauteur et les passagers – jusqu’à 1 400 – embarqueront par des portes latérales ou par le toit ! Le bus fonctionne à l’électricité via un ingénieux système de batteries qui se rechargent lors de l’arrêt à chaque station.
Selon Song Youzhou, le PDG de la société, ce bus pourrait réduire de 25 à 30 % les embouteillages et son déploiement serait rapide et bon marché par rapport au métro : un an pour construire 40 km de voie pour 500 millions de yuans (56M€).
Toutes les phases techniques ayant été validées, un district de Pékin va construire 186 km de rails d’ici la fin de l’année.
Concrètement, il s’agit d’une sorte de tramway géant articulé de 6 mètres de large pour 4,5 à 5,5 mètres de haut, qui surplombe la chaussée et qui permet aux automobiles de passer dessous. Ainsi, à aucun moment, ce bus qui roule à 40 km/h, ne bloque la circulation. Les stations seront construites en hauteur et les passagers – jusqu’à 1 400 – embarqueront par des portes latérales ou par le toit ! Le bus fonctionne à l’électricité via un ingénieux système de batteries qui se rechargent lors de l’arrêt à chaque station.
Selon Song Youzhou, le PDG de la société, ce bus pourrait réduire de 25 à 30 % les embouteillages et son déploiement serait rapide et bon marché par rapport au métro : un an pour construire 40 km de voie pour 500 millions de yuans (56M€).
Toutes les phases techniques ayant été validées, un district de Pékin va construire 186 km de rails d’ici la fin de l’année.