Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Trois étudiants toulousains et un Valenciennois de l'école supérieure des métiers de l'informatique Ingésup de Toulouse vont s'envoler pour les États-Unis afin de participer, à New York du 8 au 14 juillet, à la finale internationale du concours de Microsoft « Imagine Cup. » Depuis 2003, ce concours mobilise des centaines de milliers d'étudiants du monde entier qui doivent concevoir un jeu vidéo ou une application Windows Phone 7 sur un thème particulier (pauvreté, santé, environnement et développement durable cette année). L'équipe toulousaine, baptisée Geekologics, a imaginé le projet « Brainergy », un jeu puzzle dans lequel le joueur doit gérer des énergies renouvelables pour venir à bout de la pollution. Médaille d'or au concours français, le jeu, qui sera commercialisé en fin d'année, espère décrocher le titre mondial à New York.