Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Le mois de juillet confirme la tendance observée au mois de juin, avec une hausse sensible des spams : 78,3 % en juillet 2014, contre 75,6 % en juin 2014. « L’augmentation du nombre de spams s’est poursuivie au mois de juillet avec l’expansion des botnets. De plus, le volume de mails étant plus faible en été, les mails légitimes sont également moins nombreux et donc les spams gagnent du terrain » explique Régis Bénard, consultant technique Vade Retro.
« Le phénomène des spams US a été particulièrement marqué en juillet. Il s’agit de messages de spams ciblés dont les domaines expéditeurs sont souvent en .us -- difficiles à détecter par leur ressemblance avec une publicité classique, ceux-- ci se distinguent par de gros volumes mais restent peu dangereux, car il s'agit de promouvoir des produits illicites ».