Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Ce sondage a tout d’abord permis de dresser un « portait » des blogueurs, rétablissant ainsi certaines vérités ! La motivation des blogueurs : 80% d’entre eux le font pour échanger et partager sur leur passion. Autre enseignement, l’aspect financier : 60% ne perçoivent aucune rémunération grâce à leur blog.
Cette implication personnelle et sans rétribution financière engage d’autant plus les annonceurs et les agences à être particulièrement vigilants sur leurs sollicitations.
En effet, l’autre enseignement fort de ce sondage est sans nul doute le fait que les blogueurs aspirent à de meilleures relations avec les agences et les annonceurs. Dans cette optique, près des 3/4 des blogueurs (73,13%) aimeraient plus de personnalisation lorsqu’ils sont contactés. Cette personnalisation de la relation avec les blogueurs doit également s’inscrire dans une approche plus qualitative : plus de la moitié des répondants (55,22%) souhaitent que les annonceurs et les agences ciblent mieux leurs demandes, voire même que les demandes soient plus claires (36,57%).