Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Ils sont devenus de plus en plus présents dans une multitude de domaines allant des activités militaires à la livraison de colis, de la prise de vues pour le cinéma ou la télévision à la surveillance d'infrastructures sensibles. Eux, ce sont les drones, dont les modèles réduits grand public devraient être les vedettes au pied du sapin pour ce Noël 2015.
Toulouse, capitale de l'aéronautique européenne, a une carte à jouer et pourrait bien être une place forte des drones dont le secteur est en plein boom. À l’horizon 2020, le marché pourrait atteindre 180 millions euros par an pour la France, 1,1 milliard pour l’Europe et 10 milliards au niveau mondial.
Dans ce long format, La Dépêche propose de découvrir pourquoi ce secteur est en plein essor ; quels sont les acteurs et les enjeux ; et vous propose un petit guide pour vous lancer.