Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
Dans le cadre du "Trophée des Apps" qui s’est tenu hier à Paris pour récompenser les meilleurs applications pour smartphones, l’application InCity, proposée aux collectivités par l’ORQUASI (l’Observatoire régional de la qualité de service des infrastructures de Midi-Pyrénées) s’est vu remettre un prix et une mention spéciale dans la catégorie "Meilleure Application Communautaire".
Lancée depuis septembre 2015, InCity est une application mobile, gratuite, associée à une plateforme web, qui permet de signaler les dégradations constatées sur le domaine public, de les classifier et de les géolocaliser. Elle est donc au service à la fois des citoyens et des collectivités.