Par Maximiliano Marzetti , IÉSEG School of Management Aux États-Unis, un premier jugement autorise l’usage d’œuvres légalement acquises pour l’apprentissage des modèles d’intelligence artificielle, mais le recours à des contenus piratés est, lui, explicitement condamné. Un coup d’arrêt pour les auteurs, et un bouleversement juridique aux enjeux internationaux ? En 2024, les auteurs Andrea Bartz, Charles Graeber et Kirk Wallace Johnson ont porté plainte contre Anthropic, l’un des géants de l’intelligence artificielle (IA), l’accusant d’avoir utilisé leurs ouvrages pour entraîner son modèle de langage Claude . Cette affaire s’inscrit dans une série de litiges similaires : au moins 47 procès ont déjà été engagés aux États-Unis, visant différentes entreprises consacrées à l’IA. La question principale ? Les modèles d’IA auraient été entraînés à partir d’œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation préalable des auteurs,...
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Protection des Données – 28 janvier - , la SMEREP, via son enquête annuelle en collaboration avec OpinionWay, a tenu à mettre en avant le numérique et en particulier le ressenti des étudiants par rapport à la protection de leurs données personnelles.
37% des étudiants utilisent une application bien-être/santé et 13% une application médicale, et 50% d'entre eux ne sont pas confiants dans la protection de leurs données personnelles par les applications qui utilisent, dont 15% ne se disent pas du tout confiant.
« Le numérique prend aujourd'hui une place prépondérante dans la vie des étudiants, et la question de la protection des données personnelles a été l'un des grands sujets de 2018 et continuera à l'être en 2019. Ainsi, il nous parait indispensable d'intégrer les problématiques liées au numérique à des réflexions sociétales plus globales dans le but de sensibiliser, d'éduquer les jeunes et la sphère éducative sur les bonnes pratiques liées au digital. » d'Hadrien Le Roux, Président de la SMEREP.