Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...
L'institut Ifop vient de réaliser pour le compte de Mastercard et Oxygen une cartographie régionale des usages et nouvelles tendances liés au paiement. Parmi les enseignements de cette enquête :
Les habitudes pour le sans contact
Le recours au sans contact est ancré dans les habitudes de paiement d’une grande partie des habitants de la région.73% l’utilisent au moins une fois par mois, dont 14% tous les jours ou presque, 42% une à trois fois par semaine et 17% une à trois fois par mois. A l’opposé, 26% indiquent utiliser ce mode de paiement moins d’une fois par mois ou jamais (1% ne le connaissant pas).
Dans le cadre de leurs achats au quotidien, les habitants de la région Occitanie, recherchent avant tout la sécurité (72%). Viennent ensuite le critère de facilité (15%) et de rapidité (10%).
Critique sur la fiabilité
La principale critique adressée au paiement en « sans contact » par les habitants de la région d’Occitanie est son manque de fiabilité.Le premier obstacle perçu du « sans contact » est « le manque de confiance » qu’il suscite (27%). Des freins plus exogènes sont cités dans un second temps : « peu de commerçants le proposent » (11%), « la carte de paiement ne le permet pas » (10%), « une mauvaise connaissance du fonctionnement » (3%) ou encore le fait de ne disposer « d’aucune carte de paiement » (3%). Par ailleurs, 36% des habitants d’Occitanie estiment qu’ils ne perçoivent aucuns obstacles à l’utilisation du paiement « sans contact ».
L'émergence du paiement par smartphone
A l’exception du paiement par smartphone, les moyens de paiements connectés sont relativement peu connus et peu utilisés.Le paiement via smartphone est connu de 9 habitants sur 10 et 28% y ont déjà eu recours. 51% connaissent l’existence du paiement connecté grâce à une montre, 32% par un bracelet ou une bague, 20% via le réfrigérateur et 21% via une voiture. A l’exception du Smartphone, l’utilisation de ces supports en tant que moyen de paiement est marginale (entre 1% et 3% selon les objets).