Analyse de Kaspersky Le nombre de deepfake publiés en ligne explose de 900 % par an, selon le Forum économique mondial ( WEF ). De nombreuses actualités liées à des deepfakes ont fait les gros titres, faisant état de récits de vengeance, de harcèlement, d’arnaques à la crypto-monnaie, etc. Aujourd'hui, les chercheurs de Kaspersky mettent en lumière les trois principaux schémas de recours aux deepfakes, face auxquels nous nous devons tous d’être vigilants. L'utilisation de réseaux de neurones artificiels et du deep learning (d'où est tiré le terme "deep fake") a permis à des internautes du monde entier d’exploiter des images, des vidéos et des sources audio pour créer des vidéos réalistes d'une personne dont le visage ou le corps ont été numériquement modifié, afin de lui faire faire ou dire des choses qui n’ont pas réellement été dites ou faites. Ces vidéos et ces images détournées sont fréquemment utilisées à des fins malveillantes pour propager de fausses i
Pour la seconde fois, Flurry étend l’analyse des données d’utilisation du mobile et des applications aux principaux marchés européens. Au cours de cette dernière année, l’empreinte de Furry a progressé pour collecter et analyser les données de plus de 940 000 applications depuis 2,1 milliards d’appareils mobiles soit 3,2 billions de sessions. L’utilisation est définie par les “sessions”, fait pour un utilisateur d’ouvrir une application, et le temps passé. En Europe, Flurry Analytics sert plus de 35 200 entreprises, sur plus de 189 900 applications utilisées par 460 millions d’utilisateurs actifs par mois. Pour ce qui est de l’utilisation du mobile à l’échelle locale, une tendance majeure émerge de notre rapport : l’utilisation du mobile en Europe est très proche de celle observée au niveau mondial il y a 6 mois, toujours en haut de sa courbe de croissance mais ralentit considérablement. En 2016, l’utilisation des applications sur les trois marchés principaux : France, Royaume-