Par Kevin Polizzi, Président Unitel Group La récente nomination de Michel Barnier au sein du gouvernement français marque un changement de cap significatif, notamment en ce qui concerne la stratégie numérique de la France et de l’Europe. Fort d'une carrière politique riche, tant au niveau national qu’européen, le nouveau Premier ministre est une figure respectée pour son expertise dans des domaines cruciaux tels que les négociations commerciales et la régulation. Cependant, c'est son influence potentielle sur les questions numériques qui suscite aujourd'hui un espoir particulier. Une expertise européenne au service du numérique Michel Barnier est avant tout un Européen convaincu, qui a joué un rôle clé dans des dossiers d’envergure, notamment comme négociateur en chef du Brexit pour l'Union européenne. Cette expérience le place en position idéale pour aborder les problématiques numériques avec une vision transnationale. Dans un monde de plus en plus interconnecté, où
Analyse d' Imperva Imperva, société de cybersécurité qui protège les applications critiques, les API et les données, met en garde les entreprises françaises contre les coûts considérables de stockage de données et de cybersécurité liés à la conservation de données inutiles. Selon Imperva, les deux tiers des données stockées par les entreprises ne sont plus utiles ou n'ont jamais été exploitées. La majorité des entreprises n'ont pas mis en place de stratégie de gestion du cycle de vie des données complète ou cohérente, ni de plan indiquant comment et quand détruire les différents actifs de données. Au lieu de cela, de nombreux actifs sont simplement oubliés ou ignorés. Cependant, même si ces données ne sont pas utiles aux entreprises, les cybercriminels peuvent toujours les utiliser pour commettre des vols d'identité ou de propriété intellectuelle, ou pour recueillir des renseignements sur une cible spécifique. Et même si les données sont considérées comme "sans val