Par Patrick Dufour chez Stordata L’exploitation des données froides, à des fins d’analyse, de conception de nouveaux services, de compréhension des évolutions de marché et des habitudes de consommation a des allures d’arlésienne. Entre les difficultés de localisation et d’accès aux données archivées et le coût potentiel des infrastructures dédiées aux projets IA, les données froides continuent surtout de dormir profondément. Pourtant, avec la puissance de ses algorithmes, l’IA change vraiment la donne. Plus pertinente, plus performante, la technologie représente un potentiel d’extraction de valeur jamais atteint jusque-là. Le moment de réveiller son patrimoine informationnel est peut-être arrivé. Une mémoire de l’entreprise en dormance Les organisations conservent et archivent la donnée pour des raisons principalement réglementaires. Variables selon la nature des documents et les textes applicables, les durées de rétention imposées ont vocation à permettre tout contrôle utile, sur de n...
Ces derniers jours nos regards se sont tournés vers l’espace entre le lancement réussi de la mission Mars 2020 ou l’annonce par l’astronaute Thomas Pesquet de son retour sur l’ISS, la station spatiale internationale en 2021 à bord de la capsule Dragon X de Space X. Mais les horizons lointains ne sont pas que dans l’espace, ils peuvent aussi être sur la Terre, dans les profondeurs des océans qui conservent encore beaucoup de mystères. C’est pour pouvoir les percer que le petit-fils du commandant Cousteau, Fabien Cousteau, porte le projet de créer une "ISS de l’océan. " À la tête de la Fabien Cousteau Ocean Learning Center (FCOLC), dédié à la protection et à la préservation des eaux, des zones côtières et des habitats marins via des actions concernant l’éducation, la recherche, la collaboration, et l’autonomisation, il porte un projet qui s’appelle "Proteus", avec le designer suisse Yves Béhar. "L’exploration océanique est 1 000 fois plus importante que l’explo...