Par Kevin Polizzi, Président Unitel Group La récente nomination de Michel Barnier au sein du gouvernement français marque un changement de cap significatif, notamment en ce qui concerne la stratégie numérique de la France et de l’Europe. Fort d'une carrière politique riche, tant au niveau national qu’européen, le nouveau Premier ministre est une figure respectée pour son expertise dans des domaines cruciaux tels que les négociations commerciales et la régulation. Cependant, c'est son influence potentielle sur les questions numériques qui suscite aujourd'hui un espoir particulier. Une expertise européenne au service du numérique Michel Barnier est avant tout un Européen convaincu, qui a joué un rôle clé dans des dossiers d’envergure, notamment comme négociateur en chef du Brexit pour l'Union européenne. Cette expérience le place en position idéale pour aborder les problématiques numériques avec une vision transnationale. Dans un monde de plus en plus interconnecté, où
Robots de Naïo Technologies. Le salon de l’agriculture qui s’est ouvert hier à Paris est l’occasion pour les Français, particulièrement après la pandémie de Covid-19, de redécouvrir les animaux de la plus grande ferme du monde, d’apprécier les produits des régions de France dont ceux de l’Occitanie et d’aller à la rencontre des agriculteurs et de leur savoir-faire. C’est aussi l’occasion de mesurer combien l’agriculture a changé notamment avec l’apport du numérique. Le 30 août dernier, le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie, et le secrétaire d’État au numérique, Cédric O, ont initié une dynamique afin d’encourager la structuration de la « French AgriTech », ce mouvement qui regroupe quelque 215 start-up spécialisées dans les outils numériques au service de l’agriculture (AgriTech) et de l’agroalimentaire (FoodTech). Des robots toulousains « Les trois quarts [des 824 000 agriculteurs] possèdent au moins un outil robotisé. Une majorité utilise internet d