Par Dominique Boullier , Sciences Po La puissance des plates-formes américaines telles que X, Amazon, Google ou Meta, désormais capables d’imposer leurs diktats aux États, est inédite à l’échelle de l’histoire. Récit d’une conquête fulgurante fondée sur une prédation généralisée. La remise en cause des grands réseaux sociaux atteint aujourd’hui un niveau jamais rencontré, souligné par les appels massifs à quitter X. Elle fait suite à l’expression par leurs leaders, lors la prise de fonctions de Donald Trump, de positions politiques extrémistes. Mais la confusion règne et il est difficile de comprendre les logiques à l’œuvre dans une telle effervescence, où certaines postures se contredisent elles-mêmes (par exemple, interdire TikTok puis l’autoriser). Essayons d’y voir clair autour de mises en perspective. Un enjeu de corruption du pouvoir politique comme point de départ Les grandes firmes de la tech se sont bousculées pour financer la campagne de Trump pu...
Ce lundi 25 juillet 2016, Toulouse s'est vu renouveler par Emmanuel Macron, ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique, et Axelle Lemaire, Secrétaire d'État au Numérique, le label French Tech . Celui-ci, décerné en novembre 2014, place la métropole toulousaine dans le réseau national des 13 métropoles qui vont porter l'innovation au niveau international, s'est félicité la Métropole toulousaine dans un communiqué. Toulouse a également candidaté pour être membre de cinq réseaux thématiques et les cinq lui ont été accordés : Edtech Entertainment, IoT// hardware // manufacturing, Healthtech, Retail et Cleantech // Mobility. Un réseau thématique réunit plusieurs entrepreneurs et startups dynamiques autour d'un domaine d'expertise pour porter une démarche collective aux niveaux national et international. « Je suis très heureux de cette labellisation French Tech confirmée pour Toulouse et des réseaux thématiques qui nous ont été attribués. ...