Dans notre société hyperconnectée, la question de la mort numérique s’impose comme un enjeu majeur. Que deviennent nos données personnelles, nos photos, nos publications sur les réseaux sociaux une fois que nous ne sommes plus là pour les gérer ? Cette problématique, longtemps négligée, fait désormais l’objet d’une attention particulière de la part des législateurs et des géants du web. En France, dès 2014, la CNIL s’était saisie du sujet. Deux ans plus tard, la loi pour une République numérique a posé les premiers jalons d’un cadre légal. Elle reconnaît le droit à la mort numérique et permet aux internautes de définir des directives concernant la conservation et la communication de leurs données personnelles après leur décès. Ces directives peuvent être générales ou particulières, et désigner une personne chargée de leur exécution. Les proches du défunt se voient également reconnaître certains droits. En l’absence de directives, ils peuvent demander la clôture des comptes, leur mise à
L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes ( Arcep ) vient de publier les chiffres du 2e trimestre 2009 de l'Observatoire de l'internet haut débit. La France comptait 18,675 millions d'abonnements à Internet à haut débit au 30 juin 2009, dont 17,625 millions d'abonnements ADSL. Le nombre d'’abonnements a augmenté de 334 000 au cours du deuxième trimestre (+1,8%). Sur un an, l’accroissement est de 1,986 millions (+12%).