Par Kevin Polizzi, Président Unitel Group La récente nomination de Michel Barnier au sein du gouvernement français marque un changement de cap significatif, notamment en ce qui concerne la stratégie numérique de la France et de l’Europe. Fort d'une carrière politique riche, tant au niveau national qu’européen, le nouveau Premier ministre est une figure respectée pour son expertise dans des domaines cruciaux tels que les négociations commerciales et la régulation. Cependant, c'est son influence potentielle sur les questions numériques qui suscite aujourd'hui un espoir particulier. Une expertise européenne au service du numérique Michel Barnier est avant tout un Européen convaincu, qui a joué un rôle clé dans des dossiers d’envergure, notamment comme négociateur en chef du Brexit pour l'Union européenne. Cette expérience le place en position idéale pour aborder les problématiques numériques avec une vision transnationale. Dans un monde de plus en plus interconnecté, où
Facebook , le n°1 des réseaux sociaux avec plus de 200 millions de membres ne veut pas se laisser distancer par Twitter , le site de micro-blogging qui a occupé le devant de la scène médiatique en permettant aux Iraniens de témoigner de ce qu'il se passe dans leur pays, après l'élection présidentielle contestée. La principale différence entre les deux sites est que Twitter delivre ses messages en clair vers le grand public tandis que sur Facebook, les statuts du profil (la fonction la plus prisée) ne sont consultables que si l'on est amis avec la personne qui diffuse son statut. Cela va changer dans les semaines à venir comme l'a annoncé Facebook cette semaine. Une étape importante après la possibilité, depuis début juin, ded choisir une adresse de profil de type www.facebook.com/monprofil qui ressemble furieusement à des adresses du type www.twitter.com/monprofil. "Facebook s’efforce de donner aux utilisateurs davantage de maîtrise des informations qu’ils partagen