Par Alexis Lévrier , Sorbonne Université Grand chantier voulu par Emmanuel Macron, les États généraux de l’information ont mobilisé 22 assemblées citoyennes, 174 auditions, des dizaines de contributions écrites, et ce, pendant 9 mois de travaux. Leurs préconisations ont été remises au président de la République, jeudi 12 septembre. Répondent-elles à « l’urgence démocratique », alors que le journalisme et le droit à l’information sont menacés ? Entretien avec le chercheur Alexis Lévrier. Comment avez-vous reçu les conclusions de ces États généraux de l’information voulus par Emmanuel Macron ? Il s’agit d’une immense déception. Concernant les médias, la seule promesse de campagne du candidat Macron, c’était ces États généraux de l’information (EGI). Ils ont été lancés d’une manière très solennelle, puis de nombreux intervenants de qualité ont participé aux groupes de travail. Le rapport pointe justement une urgence démocratique à protéger et à développer le droit à l’
Une expédition va partir fin mai à l'assaut du «7e continent», une gigantesque plaque de déchets plastiques flottant sur l'océan Pacifique. Un capteur réalisé par des élèves ingénieurs toulousains et le Cnes. Le réchauffement climatique, la fonte de la banquise ou l'élévation du niveau de la mer sont désormais bien connus du grand public. Ce dernier va découvrir une autre conséquence environnementale de l'inconscience des hommes à la faveur d'une expédition scientifique impliquant des Toulousains, qui va partir fin mai à l'assaut du «7e continent». Derrière cette expression se cache une gigantesque plaque de déchets plastiques flottant sur l'océan Pacifique. Rassemblés par les courants marins en un immense vortex appelé «gyre», ces déchets forment un «continent» grand comme six fois la France ! Un an après une première tentative, une expédition va repartir le 20 mai de San Diego, en Californie, pour mieux cerner les conséquences dramatiques de ces p