Dans notre société hyperconnectée, la question de la mort numérique s’impose comme un enjeu majeur. Que deviennent nos données personnelles, nos photos, nos publications sur les réseaux sociaux une fois que nous ne sommes plus là pour les gérer ? Cette problématique, longtemps négligée, fait désormais l’objet d’une attention particulière de la part des législateurs et des géants du web. En France, dès 2014, la CNIL s’était saisie du sujet. Deux ans plus tard, la loi pour une République numérique a posé les premiers jalons d’un cadre légal. Elle reconnaît le droit à la mort numérique et permet aux internautes de définir des directives concernant la conservation et la communication de leurs données personnelles après leur décès. Ces directives peuvent être générales ou particulières, et désigner une personne chargée de leur exécution. Les proches du défunt se voient également reconnaître certains droits. En l’absence de directives, ils peuvent demander la clôture des comptes, leur mise à
Les mannequins réalistes sont utilisés pour la formation aux tests diagnostiques du Covid-19, aux complications respiratoires, et bien plus. (Photo de Lifecast Body Simulation) Par Andrei Vakulenko, Directeur du Développement Commercial chez Artec 3D Aujourd'hui, tous les regards sont rivés sur les professionnels de santé. Alors que la pandémie de coronavirus fait rage, les médecins, infirmières et autres personnels soignants sont en première ligne pour soigner les malades, créer en urgence des protocoles de sécurité, et mettre au point des traitements contribuant à éradiquer le virus. Pendant ce temps, la future génération de professionnels médicaux apprend les spécificités du métier avant de participer à leur tour à la lutte contre les maladies. La formation médicale se voit accélérée et enrichie par l'utilisation combinée des technologies de scan 3D, de l'impression 3D et de la réalité virtuelle. Ces outils ne cessent de gagner en popularité au sein de la communauté mé