Dans notre société hyperconnectée, la question de la mort numérique s’impose comme un enjeu majeur. Que deviennent nos données personnelles, nos photos, nos publications sur les réseaux sociaux une fois que nous ne sommes plus là pour les gérer ? Cette problématique, longtemps négligée, fait désormais l’objet d’une attention particulière de la part des législateurs et des géants du web. En France, dès 2014, la CNIL s’était saisie du sujet. Deux ans plus tard, la loi pour une République numérique a posé les premiers jalons d’un cadre légal. Elle reconnaît le droit à la mort numérique et permet aux internautes de définir des directives concernant la conservation et la communication de leurs données personnelles après leur décès. Ces directives peuvent être générales ou particulières, et désigner une personne chargée de leur exécution. Les proches du défunt se voient également reconnaître certains droits. En l’absence de directives, ils peuvent demander la clôture des comptes, leur mise à
Par Frédéric Salles, Président et co-fondateur de Matooma En 2021, le nombre total d'objets connectés utilisés atteindra les 25 milliards selon Gartner. Il est ainsi légitime de se demander quelles sont les technologies principales permettant de connecter les objets, et quelle pourrait être celle la plus adaptée pour sa solution. Un projet de vidéosurveillance par exemple n'aura absolument pas les mêmes besoins qu'un projet basé sur le relevé de température au milieu du désert. Ainsi pour trouver la meilleure connectivité pour son objet, de nombreuses questions peuvent se poser : mon objet fonctionne-t-il sur batterie ou est-il alimenté ? Mon objet restera-t-il statique ou sera-t-il mobile ? Mon objet est-il susceptible d'être dans un endroit difficile d'accès ou enterré ? A quelle fréquence mes données doivent-elles remonter ? Etc. Voici les différentes solutions actuellement disponibles sur le marché. Courte distance : RFID/Bluetooth/WiFi La RFID (Ra