Par Kevin Polizzi, Président Unitel Group La récente nomination de Michel Barnier au sein du gouvernement français marque un changement de cap significatif, notamment en ce qui concerne la stratégie numérique de la France et de l’Europe. Fort d'une carrière politique riche, tant au niveau national qu’européen, le nouveau Premier ministre est une figure respectée pour son expertise dans des domaines cruciaux tels que les négociations commerciales et la régulation. Cependant, c'est son influence potentielle sur les questions numériques qui suscite aujourd'hui un espoir particulier. Une expertise européenne au service du numérique Michel Barnier est avant tout un Européen convaincu, qui a joué un rôle clé dans des dossiers d’envergure, notamment comme négociateur en chef du Brexit pour l'Union européenne. Cette expérience le place en position idéale pour aborder les problématiques numériques avec une vision transnationale. Dans un monde de plus en plus interconnecté, où
Qu'il semble loin le temps où deux barres blanches se renvoyaient un petit pixel… En 25 ans, le jeu vidéo a fait sa révolution et a généré en 2006 un marché colossal de 1,9 milliard d'euros dans l'Hexagone, où l'institut GfK estime qu'un Français sur trois est un joueur. Alors que Vivendi est devenu cette semaine numéro un mondial du jeu et que la « french touch » est toujours autant appréciée, la guerre fait rage autour des consoles. Une guerre à trois : Microsoft, Sony et Nintendo avec respectivement la XBox 360, la Playstation 3 et la Nintendo Wii. Ces consoles next-gen (nouvelle génération) qui ambitionnent de devenir le centre multimédia du salon familial en permettant la lecture de DVD, de photos, de musiques, d'émissions TNT, proposent toutefois des expériences ludiques différentes. Wii. Lancée en décembre 2006, la Wii, qui est la moins chère, propose une manette (la wiimote) dotée d'un capteur de mouvements qui permet de jouer comme jamais auparavant