Par Alexis Lévrier , Sorbonne Université Grand chantier voulu par Emmanuel Macron, les États généraux de l’information ont mobilisé 22 assemblées citoyennes, 174 auditions, des dizaines de contributions écrites, et ce, pendant 9 mois de travaux. Leurs préconisations ont été remises au président de la République, jeudi 12 septembre. Répondent-elles à « l’urgence démocratique », alors que le journalisme et le droit à l’information sont menacés ? Entretien avec le chercheur Alexis Lévrier. Comment avez-vous reçu les conclusions de ces États généraux de l’information voulus par Emmanuel Macron ? Il s’agit d’une immense déception. Concernant les médias, la seule promesse de campagne du candidat Macron, c’était ces États généraux de l’information (EGI). Ils ont été lancés d’une manière très solennelle, puis de nombreux intervenants de qualité ont participé aux groupes de travail. Le rapport pointe justement une urgence démocratique à protéger et à développer le droit à l’
La NASA aux Etats-Unis ou le CNES en France proposent de plus en plus au grand public des dossiers spéciaux sur internet pour suivre et comprendre les missions qui sont régulièrement lancées. L'adhésion du public, est bien utile parfois pour défendre les budgets mais ces initiatives permettent aux agences d'endosser avec brio un vrai rôle pédagogique. Alors que la NASA dispose de chaînes de télé sur le web et de bibliothèques multimédias à foison, la dernière initiative revient au CNES. Pour expliquer la mission Jason-2, ce satellite océanographique qui a été lancé la semaine passée, le centre national d'études spatiales de Touluose a ouvert un blog spécial de toute beauté. Sur cet espace, plusieurs onglets permettent de suivre toute l'actualité de la mission, de voir de très nombreuses vidéos sur un videowall (un extrait de celui-ci ci-dessous) et de consulter des photos à foison dands le portfolio. Une séquence permet d'expliquer ce qu'est aujourd'hui l