Les cybercriminels agissent en bandes très organisées, et surtout très modulables. Dan Asaki, Unsplash , CC BY Par Jean-Yves Marion , Université de Lorraine Europol vient d’ annoncer le démantèlement d’un groupe de rançongiciels en Ukraine . Dans leur forme la plus basique, ces cyberattaques bloquent les systèmes informatiques et exfiltrent les données de la victime, promettant de les restituer contre rançon. Ainsi, en août 2022, une cyberattaque attribuée au rançongiciel LockBit a paralysé le centre hospitalier sud-francilien en exfiltrant 11 Gigaoctets de données de patients et d’employés. L’hôpital a dû fonctionner en « mode dégradé » pendant plusieurs mois, avec les dossiers médicaux inaccessibles et des appareils de soin inutilisables. En juillet 2023, c’est le port de Nagoya, l’un des plus importants du Japon, qui a été obligé de s’arrêter pendant deux jours à cause d’un rançongiciel. De l’exfiltration des données à leur revente sur des marc
Par Avira , société éditrice de solutions de sécurité L'âge fait toute la différence en matière de politique de mot de passe. Des études révèlent que les Millennials, qui sont nés avec le numérique, sont bien plus mauvais que leurs aînés, plus conservateurs et moins à l'aise avec la technologie, au niveau de leurs mots de passe. Est-ce bien vrai ? Tout dépend comment vous interprétez les données. Des données récemment recueillies par IBM Security indiquent que l'âge a un impact notable sur la gestion basique des mots de passe. En bref, plus l'on est jeune, moins l'on a tendance à avoir de bonnes pratiques en matière de mots de passe, sauf deux exceptions intéressantes. Plus vous êtes jeunes, plus vous êtes susceptible d'adopter les pratiques suivantes : Utiliser moins de mots de passe Utiliser des mots de passe moins complexes, avec un mélange de caractères, de symboles et de majuscules. Ah la folie de la jeunesse et la sagesse de l'âge !