Dans notre société hyperconnectée, la question de la mort numérique s’impose comme un enjeu majeur. Que deviennent nos données personnelles, nos photos, nos publications sur les réseaux sociaux une fois que nous ne sommes plus là pour les gérer ? Cette problématique, longtemps négligée, fait désormais l’objet d’une attention particulière de la part des législateurs et des géants du web. En France, dès 2014, la CNIL s’était saisie du sujet. Deux ans plus tard, la loi pour une République numérique a posé les premiers jalons d’un cadre légal. Elle reconnaît le droit à la mort numérique et permet aux internautes de définir des directives concernant la conservation et la communication de leurs données personnelles après leur décès. Ces directives peuvent être générales ou particulières, et désigner une personne chargée de leur exécution. Les proches du défunt se voient également reconnaître certains droits. En l’absence de directives, ils peuvent demander la clôture des comptes, leur mise à
Ils sont devenus de plus en plus présents dans une multitude de domaines allant des activités militaires à la livraison de colis, de la prise de vues pour le cinéma ou la télévision à la surveillance d'infrastructures sensibles. Eux, ce sont les drones, dont les modèles réduits grand public devraient être les vedettes au pied du sapin pour ce Noël 2015. Toulouse, capitale de l'aéronautique européenne, a une carte à jouer et pourrait bien être une place forte des drones dont le secteur est en plein boom. À l’horizon 2020, le marché pourrait atteindre 180 millions euros par an pour la France, 1,1 milliard pour l’Europe et 10 milliards au niveau mondial. Dans ce long format, La Dépêche propose de découvrir pourquoi ce secteur est en plein essor ; quels sont les acteurs et les enjeux ; et vous propose un petit guide pour vous lancer.