Par Kathleen Desveaud , Kedge Business School L’intelligence artificielle promet un soulagement face à l’ennui des tâches répétitives au travail, mais son usage excessif pourrait entraîner une déqualification progressive et une nouvelle forme de frustration professionnelle. Entre automatisation bénéfique et risque de « travail zombie », comment faire de l’IA un allié du développement des compétences plutôt qu’une source d’appauvrissement cognitif ? L’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les métiers est un sujet majeur , qui a été traité dans de nombreuses études . Si la question de la disparition des emplois retient souvent l’attention, une autre question de fond mérite d’être considérée : comment ces technologies transforment et transformeront-elles concrètement le quotidien, les compétences et la motivation des travailleurs ? L’IA, un remède contre l’ennui au travail ? L’IA est parfois présentée comme un parfait remède a...
L' Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) vient de publier les résultats de son observatoire des marchés des communications électroniques pour le 4e trimestre 2010. Un observatoire qui montre, une nouvelle fois, l'engouement des Français pour les outils de communication. Sur le le marche global, le revenu total des opérateurs de communications électroniques a atteint 11,5 milliards d’euros (10,3 milliards d'euros hors revenus annexes) soit une hausse de 1% sur un an. Le dégroupage s'accélère : une ligne sur quatre concernée La France compte 35,2 millions de lignes (40,4 millions d'abonnements téléphoniques). L'Arcep constate que le nombre d'abonnements téléphoniques fixes diminue depuis trois trimestres (-1,7% sur un an au 4e trimestre 2010). Les abonnements à la voix sur large bande (18,9 millions) se substituent de plus en plus aux abonnements classiques en RTC (21,5 millions) dont le recul s'accélère depu...