Par Patrick Dufour chez Stordata L’exploitation des données froides, à des fins d’analyse, de conception de nouveaux services, de compréhension des évolutions de marché et des habitudes de consommation a des allures d’arlésienne. Entre les difficultés de localisation et d’accès aux données archivées et le coût potentiel des infrastructures dédiées aux projets IA, les données froides continuent surtout de dormir profondément. Pourtant, avec la puissance de ses algorithmes, l’IA change vraiment la donne. Plus pertinente, plus performante, la technologie représente un potentiel d’extraction de valeur jamais atteint jusque-là. Le moment de réveiller son patrimoine informationnel est peut-être arrivé. Une mémoire de l’entreprise en dormance Les organisations conservent et archivent la donnée pour des raisons principalement réglementaires. Variables selon la nature des documents et les textes applicables, les durées de rétention imposées ont vocation à permettre tout contrôle utile, sur de n...
L' Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) vient de publier les résultats de son observatoire des marchés des communications électroniques pour le 4e trimestre 2010. Un observatoire qui montre, une nouvelle fois, l'engouement des Français pour les outils de communication. Sur le le marche global, le revenu total des opérateurs de communications électroniques a atteint 11,5 milliards d’euros (10,3 milliards d'euros hors revenus annexes) soit une hausse de 1% sur un an. Le dégroupage s'accélère : une ligne sur quatre concernée La France compte 35,2 millions de lignes (40,4 millions d'abonnements téléphoniques). L'Arcep constate que le nombre d'abonnements téléphoniques fixes diminue depuis trois trimestres (-1,7% sur un an au 4e trimestre 2010). Les abonnements à la voix sur large bande (18,9 millions) se substituent de plus en plus aux abonnements classiques en RTC (21,5 millions) dont le recul s'accélère depu...