Dans notre société hyperconnectée, la question de la mort numérique s’impose comme un enjeu majeur. Que deviennent nos données personnelles, nos photos, nos publications sur les réseaux sociaux une fois que nous ne sommes plus là pour les gérer ? Cette problématique, longtemps négligée, fait désormais l’objet d’une attention particulière de la part des législateurs et des géants du web. En France, dès 2014, la CNIL s’était saisie du sujet. Deux ans plus tard, la loi pour une République numérique a posé les premiers jalons d’un cadre légal. Elle reconnaît le droit à la mort numérique et permet aux internautes de définir des directives concernant la conservation et la communication de leurs données personnelles après leur décès. Ces directives peuvent être générales ou particulières, et désigner une personne chargée de leur exécution. Les proches du défunt se voient également reconnaître certains droits. En l’absence de directives, ils peuvent demander la clôture des comptes, leur mise à
L'E-réservation qui permet de réserver en ligne pour retirer ensuite en magasin sans obligation d'achat ni frais d'envoi, est en pleine expansion, comme vient de le démontrer l'étude Toluna pour le magazine LSA Après 3 semaines de soldes d'hiver, 51,8% des Français ont fait les soldes sur Internet, ce qui représente 26,4 millions de clients pour l'E-commerce, contre 21,3% qui ont fait seulement des recherches ou réservations, et 26,4% qui n'ont pas du tout recherché de bonnes affaires sur le Web et les applis sur mobile. 2,5% des Français, soit 1,3 million de personnes, déclarent avoir fait les soldes avec l'E-réservation, la grande innovation Web-to-Store lancée par plusieurs enseignes multicanales cet hiver 2016. Ces réservations en ligne ont été faites surtout dans la mode (chaussures, vêtements) et le sport. Même si ces premiers utilisateurs sont encore rares par rapport aux 40,2 millions de Français qui ont fait les soldes en 3 semaines