Par Ahmed Azough , Pôle Léonard de Vinci Si, aujourd’hui, nous sommes habitués à surfer sur Internet, partie émergée d’un énorme iceberg de données interconnectées, les évolutions technologiques récentes devraient bientôt nous permettre de nous immerger dans cet océan bouillonnant de big data. L’immersion vise à procurer à l’utilisateur un sentiment de présence en utilisant des technologies de captation et restitution sensorielle : l’utilisateur se sent transporté dans l’environnement digital créé par des technologies numériques, à tel point qu’ il ressent ces objets numériques virtuels comme faisant partie de sa réalité . De leur côté, les systèmes numériques détectent et interprètent de mieux en mieux les comportements et les émotions de leurs interlocuteurs , à tel point que l’humain a l’impression que ce système est conscient de sa présence et interagit volontairement. Les films Matrix et plus récemment Ready Player One reflètent bien cette idée : s’interposer entre
Une récente étude réalisée par Censuswide pour D-Link, spécialiste de la connectivité Wi-Fi, démontre que les Français sont prêts à sacrifier certains biens de confort plutôt que d’être confrontés à une mauvaise connexion Wi-Fi durant une semaine. L’étude, menée sur un échantillon de 7 282 adultes de plus de 16 ans dans plusieurs pays européens (dont 1 228 Français), révèle que la majorité des Français (91%) ne peut se passer d’une connexion internet de bonne qualité pendant une semaine. Pour éviter une mauvaise connexion Wi-Fi pendant une semaine, les Français interrogés sont prêts à sacrifier, à durée équivalente, des produits du quotidien tels que l’alcool (29% et jusqu’à 32% pour les 35-44 ans), le sport (15%), le maquillage (14%), le chocolat et la glace (7%). Les millenials, plus sensibles aux coupures internet D-Link constate également qu’une mauvaise connexion Wi-Fi au domicile est une source d’agacement voire de frustration pour beaucoup. L’étude démontre ainsi qu’