Analyse de Kaspersky Le nombre de deepfake publiés en ligne explose de 900 % par an, selon le Forum économique mondial ( WEF ). De nombreuses actualités liées à des deepfakes ont fait les gros titres, faisant état de récits de vengeance, de harcèlement, d’arnaques à la crypto-monnaie, etc. Aujourd'hui, les chercheurs de Kaspersky mettent en lumière les trois principaux schémas de recours aux deepfakes, face auxquels nous nous devons tous d’être vigilants. L'utilisation de réseaux de neurones artificiels et du deep learning (d'où est tiré le terme "deep fake") a permis à des internautes du monde entier d’exploiter des images, des vidéos et des sources audio pour créer des vidéos réalistes d'une personne dont le visage ou le corps ont été numériquement modifié, afin de lui faire faire ou dire des choses qui n’ont pas réellement été dites ou faites. Ces vidéos et ces images détournées sont fréquemment utilisées à des fins malveillantes pour propager de fausses i
Printofoto , 1ère plateforme d'impression photos, a voulu savoir comment les Français géraient leurs photos personnelles sur les réseaux sociaux et si l'impression papier était toujours d'actualité. Plus de 8.000 personnes interrogées, montrent que les femmes et les hommes réagissent différemment avec leurs images. Les femmes postent plus de photos que les hommes Sur les réseaux sociaux comme Facebook, les femmes sont plus actives que la gent masculine en ce qui concerne les photos. En effet, 71% des femmes déclarent poster des photos personnelles sur Facebook contre seulement 56% des hommes. Pour les personnes qui ne souhaitent pas afficher leur vie personnelle sur les réseaux sociaux, la raison principale est de ne pas vouloir que ces photos puissent être visibles par n'importe qui. C'est en tous cas, ce que déclarent 76% des femmes et 77% des hommes. En toute confidentialité ! Pour protéger le plus possible l'accès à ces images de leur vie, les Fr