Depuis l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn annoncée très tôt sur le site de micro-blogging Twitter, ce dernier a joué un rôle capital pour suivre heure par heure, via le hashtag #DSK , le développement de l'affaire. Ainsi, les journalistes français présents à New York ont pu rendre compte en direct sur Twitter des débats de l'audience du tribunal américain au moment où celui-ci se prononçait sur la libération sous caution de Dominique Strauss-Kahn. La plupart des chaînes de télé et les radios ont cité Twitter comme l'une des sources de leurs informations même s'il eut été plus juste de considérer Twitter comme un outil utilisé par leurs propres journalistes. Tous ? Non, Laurence Haïm, correspondante de Canal+ et de I>télé, s'est vue interdire d'utiliser Twitter pour réserver ses informations en exclusivité pour son employeur. Une décision surprenante puisque tous les journalistes français utilisaient Twitter... Mais le comble du ridicule a été attei
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