Par Patrick Dufour chez Stordata L’exploitation des données froides, à des fins d’analyse, de conception de nouveaux services, de compréhension des évolutions de marché et des habitudes de consommation a des allures d’arlésienne. Entre les difficultés de localisation et d’accès aux données archivées et le coût potentiel des infrastructures dédiées aux projets IA, les données froides continuent surtout de dormir profondément. Pourtant, avec la puissance de ses algorithmes, l’IA change vraiment la donne. Plus pertinente, plus performante, la technologie représente un potentiel d’extraction de valeur jamais atteint jusque-là. Le moment de réveiller son patrimoine informationnel est peut-être arrivé. Une mémoire de l’entreprise en dormance Les organisations conservent et archivent la donnée pour des raisons principalement réglementaires. Variables selon la nature des documents et les textes applicables, les durées de rétention imposées ont vocation à permettre tout contrôle utile, sur de n...
L'Agence régionale pour le développement de la société de l'information ( Ardesi ) - qui a récemment fêté ses dix ans d'existence - a dévoilé hier à Toulouse la 7e édition de son Diagnostic, véritable baromètre permettant de mesurer tout à la fois l'évolution des usages et des équipements numériques en Midi-Pyrénées ; et le poids économique que représente désormais les technologies de l'information et de la communication (TIC), à la seconde place derrière l'aéronautique. Les TIC : 2e économie de la région Martin Malvy a d'ailleurs insisté sur ce point hier. « L'économie des TIC en Midi-Pyrénées concerne plus de 3 800 entreprises et entre 18 000 et 23 000 emplois. C'est un véritable secteur en plein développement », s'est réjoui le Président de la Région. Et de préciser que lors du récent voyage de la délégation régionale à Seattle, aux États-Unis, plusieurs rencontres avaient eu lieu, notamment avec des représentants du géant Microsoft. A ...