Par Kevin Polizzi, Président Unitel Group La récente nomination de Michel Barnier au sein du gouvernement français marque un changement de cap significatif, notamment en ce qui concerne la stratégie numérique de la France et de l’Europe. Fort d'une carrière politique riche, tant au niveau national qu’européen, le nouveau Premier ministre est une figure respectée pour son expertise dans des domaines cruciaux tels que les négociations commerciales et la régulation. Cependant, c'est son influence potentielle sur les questions numériques qui suscite aujourd'hui un espoir particulier. Une expertise européenne au service du numérique Michel Barnier est avant tout un Européen convaincu, qui a joué un rôle clé dans des dossiers d’envergure, notamment comme négociateur en chef du Brexit pour l'Union européenne. Cette expérience le place en position idéale pour aborder les problématiques numériques avec une vision transnationale. Dans un monde de plus en plus interconnecté, où
C 'est une guerre de tranchée qui va vraisemblablement s'achever dans les jours à venir. Chacun de leur côté les deux constructeurs d'électronique japonais, Sony et Toshiba, réfléchissaient, en effet, au remplaçant de nos DVD actuels : des disques de plus grosse capacité capables d'afficher des vidéos en haute définition. Faute de s'être entendus pour lancer un format commun en 2005, Toshiba, allié à Nec, promouvait le HD-DVD et Sony, soutenu par Matsushita (Panasonic) et Sharp, son disque Blu Ray. Deux formats pour faire la même chose donc, deux formats bien évidemment incompatibles entre eux. Depuis trois ans, les deux géants nippons ont déployé tous leurs talents pour séduire les studios de cinéma et les constructeurs de lecteurs. Au centre, le consommateur compte péniblement les points, se remémorant une précédente guerre des formats : celle de la cassette vidéo qui avait vu le triomphe du VHS sur la Bétamax, pourtant de meilleure qualité. Ce lundi, le ralliem