Par Dominique Boullier , Sciences Po La puissance des plates-formes américaines telles que X, Amazon, Google ou Meta, désormais capables d’imposer leurs diktats aux États, est inédite à l’échelle de l’histoire. Récit d’une conquête fulgurante fondée sur une prédation généralisée. La remise en cause des grands réseaux sociaux atteint aujourd’hui un niveau jamais rencontré, souligné par les appels massifs à quitter X. Elle fait suite à l’expression par leurs leaders, lors la prise de fonctions de Donald Trump, de positions politiques extrémistes. Mais la confusion règne et il est difficile de comprendre les logiques à l’œuvre dans une telle effervescence, où certaines postures se contredisent elles-mêmes (par exemple, interdire TikTok puis l’autoriser). Essayons d’y voir clair autour de mises en perspective. Un enjeu de corruption du pouvoir politique comme point de départ Les grandes firmes de la tech se sont bousculées pour financer la campagne de Trump pu...
En 2008, les sites d'e-commerce ont réalisé 14 milliards d'euros de volume d'affaires, en hausse de 20 % sur un an, selon l'étude annuelle de Benchmark Group sur le commerce électronique en France. Pour 2009, l'institut table sur une croissance de 8 %. Pour autant, nombre de Français rechignent à effectuer des achats par internet, effrayés à l'idée de donner leur numéro de carte bancaire. C'est pour eux que Central Télécom, alliée à Ukash, le leader britannique du webpaiement, propose une solution avec la carte Tonéo. Il suffit de se procurer la carte Tonéo dans l'un des 30 000 points de vente (bureaux de tabac, points presse, stations service…), puis de se rendre sur www.toneo3.com pour transformer le crédit de sa carte Tonéo (7,5, 15 ou 50 €) en bon de paiement Ukash. Une fois ce code obtenu, le client peut accéder à des centaines de sites internet (jeux, musique, rencontres…) et dépenser ainsi son crédit Ukash en toute sécurité.