En matière de cloud et d'intelligence artificielle (IA), la régulation n’est pas un frein : tel est le message que Laure de La Raudière, présidente de l’Arcep, le gendarme français des Télécoms, est allée porter fin juin à Bruxelles devant les parlementaires européens. Alors que la Commission mène une consultation publique sur l’avenir des politiques en matière de cloud et d’IA, le régulateur français des télécoms défend l'idée de doter l’Europe d’un cadre économique pro-investissement, stable et ambitieux, au service de sa souveraineté technologique. Forte de son expérience dans le secteur des télécoms — où la régulation a permis à la France de devenir le premier pays européen en matière d’abonnements très haut débit —, l’Arcep plaide pour une approche transposable aux infrastructures numériques du futur. Car l’enjeu dépasse de loin le simple déploiement de serveurs ou d’algorithmes car il s’agit d’assurer l’autonomie stratégique de l’Union européenne dans un contexte de dépen...

Une petite association qui organise un concert ou une amicale qui propose un spectacle n'ont pas forcément les moyens de créer et gérer toute l'infrastructure d'une billetterie. C'est là qu'intervient Weezevent (www.weezevent.com). Depuis mars 2009, cette société propose la première solution française de création de billetterie en ligne en self-service. « L'ambition de Weezevent est de se positionner comme une solution complémentaire et/ou de substitution aux réseaux traditionnels de distribution de billets de spectacles (France Billet, Tickenet, Digitick) », expliquent les fondateurs. Après avoir créé un compte, l'utilisateur décrit son événement (date, lieu…), configure sa billetterie et peut instantanément commencer à vendre ses billets/places sur Internet en acceptant les paiements par carte bancaire. L'atout de Weezevent : une commission de 2,5 % par billet vendu.