Une nouvelle étude commandée par Alteryx , la plateforme d'IA pour l'analyse d'entreprise en France, révèle que les organisations ne sont pas prêtes à tirer parti de l'IA générative en raison de leurs données. Le rapport " Data Stack Evolution : Legacy Challenges and AI Opportunities", qui a interrogé 3 100 leaders mondiaux de l'informatique, a mis en évidence des obstacles qui empêchent le déploiement réussi de l'IA générative, notamment la gestion des piles de données, la stratégie technologique et les cultures d'entreprise. Un manque de confiance envers les piles de données L’étude souligne un décalage important entre la confiance que les responsables informatiques mondiaux accordent à leurs données et la réalité de leurs piles de données. En France, alors que 43% des répondants qualifient la maturité de leurs données comme étant "bonne" ou "avancée" et que 68% ont confiance dans leurs données, un cinquième a tout de même évo
La bonne vieille cassette VHS vient de fêter ses 30 ans le mois dernier. Certes, il y avait bien eu des enregistreurs audiovisuels avant septembre 1976, mais c’est en lançant le massif HR-3300 que JVC remporta la bataille des formats face au Betamax de Sony, pourtant de meilleure qualité. Ironie du sort, les deux géants de l’électronique se retrouvent encore aujourd’hui face à face pour déterminer le format qui doit succéder au DVD (lire encadré).
Chassée par les DVD ou cantonnée au mieux à une petite étagère dans les vidéoclubs depuis déjà quatre ans, la cassette a vu sa mort programmée par les studios hollywoodiens qui ont décidé d’arrêter de commercialiser leurs films sur ce support fin 2006.
Restait un atout à la cassette VHS: l’enregistrement des programmes télé chez soi. Las, l’apparition des lecteurs-enregistreurs de DVD et, surtout, ceux dotés d’un disque dur, ont sonné le glas de la cassette VHS, encombrante et offrant une piètre qualité à l’heure de la TNT et des écrans plats. Aujourd’hui, difficile de trouver un magnétoscope dans les rayons hi-fi des hypermarchés. Tout est fait pour franchir le pas. Entre l’appareil qui combine VHS et DVD, celui qui grave et celui qui peut enregistrer sur disque dur, le choix est vaste et complexe.
Outre une capacité d’enregistrement colossale (jusqu’à 700h) l’enregistreur à disque dur (personal video recorder [PVR] en anglais) présente de nombreux avantages: plus besoin de support vierge, enregistrements et effacements illimités, gravage sur DVD des enregistrements à conserver, etc. Mieux, beaucoup de ces PVR affichent à l’écran un guide des programmes télé et presque tous permettent le «time shifting» (on peut s’absenter un instant, revenir et reprendre là où on l’avait laissé le programme, enregistré en mémoire tampon).
Aux États-Unis, les PVR ont depuis longtemps le vente en poupe et ont fait frémir les chaînes de télé: en 1998, TiVo permettait de zapper… les écrans de pub! Les networks ont fait annuler en justice cette possibilité, mais le succès des PVR, qui permettent de consommer autrement la télé, s’est poursuivi. Aujourd’hui, il se vend 19 millions de PVR dans le monde. La France en compte 1,5 million dont 250000 inclus dans les décodeurs satellites ou ADSL.
Chassée par les DVD ou cantonnée au mieux à une petite étagère dans les vidéoclubs depuis déjà quatre ans, la cassette a vu sa mort programmée par les studios hollywoodiens qui ont décidé d’arrêter de commercialiser leurs films sur ce support fin 2006.
Restait un atout à la cassette VHS: l’enregistrement des programmes télé chez soi. Las, l’apparition des lecteurs-enregistreurs de DVD et, surtout, ceux dotés d’un disque dur, ont sonné le glas de la cassette VHS, encombrante et offrant une piètre qualité à l’heure de la TNT et des écrans plats. Aujourd’hui, difficile de trouver un magnétoscope dans les rayons hi-fi des hypermarchés. Tout est fait pour franchir le pas. Entre l’appareil qui combine VHS et DVD, celui qui grave et celui qui peut enregistrer sur disque dur, le choix est vaste et complexe.
Outre une capacité d’enregistrement colossale (jusqu’à 700h) l’enregistreur à disque dur (personal video recorder [PVR] en anglais) présente de nombreux avantages: plus besoin de support vierge, enregistrements et effacements illimités, gravage sur DVD des enregistrements à conserver, etc. Mieux, beaucoup de ces PVR affichent à l’écran un guide des programmes télé et presque tous permettent le «time shifting» (on peut s’absenter un instant, revenir et reprendre là où on l’avait laissé le programme, enregistré en mémoire tampon).
Aux États-Unis, les PVR ont depuis longtemps le vente en poupe et ont fait frémir les chaînes de télé: en 1998, TiVo permettait de zapper… les écrans de pub! Les networks ont fait annuler en justice cette possibilité, mais le succès des PVR, qui permettent de consommer autrement la télé, s’est poursuivi. Aujourd’hui, il se vend 19 millions de PVR dans le monde. La France en compte 1,5 million dont 250000 inclus dans les décodeurs satellites ou ADSL.
Bataille de format
Comme il y a 30 ans pour le VHS et le Betamax, l’industrie électronique se déchire sur le format qui succédera au DVD. D’un côté le Blu-Ray soutenu par Sony, Apple, Philips, Samsung, Thomson, etc. et les studios Disney, MGM. De l’autre le HD-DVD mis en avant par Toshiba, Microsoft, Nec et les studios Warner, Paramount. Au centre, le consommateur qui ne sait que choisir. Mieux vaut donc attendre.