Par Patrick Dufour chez Stordata L’exploitation des données froides, à des fins d’analyse, de conception de nouveaux services, de compréhension des évolutions de marché et des habitudes de consommation a des allures d’arlésienne. Entre les difficultés de localisation et d’accès aux données archivées et le coût potentiel des infrastructures dédiées aux projets IA, les données froides continuent surtout de dormir profondément. Pourtant, avec la puissance de ses algorithmes, l’IA change vraiment la donne. Plus pertinente, plus performante, la technologie représente un potentiel d’extraction de valeur jamais atteint jusque-là. Le moment de réveiller son patrimoine informationnel est peut-être arrivé. Une mémoire de l’entreprise en dormance Les organisations conservent et archivent la donnée pour des raisons principalement réglementaires. Variables selon la nature des documents et les textes applicables, les durées de rétention imposées ont vocation à permettre tout contrôle utile, sur de n...
Par Thomas Leconte, Directeur technique chez MTI France Une image contenant homme, personne, complet, murDescription générée automatiquement En matière de sécurité des systèmes d'information, l'humain reste l'un des principaux éléments constituant le risque. Et pas seulement quant aux malveillances (internes ou externes) qu'il peut représenter : cible de nombreuses attaques, l'humain est une faille. Notamment quand il dispose d'un compte à privilèges, comme c'est le cas des top-managers. Top management : des droits importants, des risques majeurs Le top management, qui bénéficie en général d'un accès aux informations sensibles de l'organisation, compte parmi les cibles privilégiées des attaques. Ses membres, aussi bien que leurs plus proches collaborateurs tels que leurs assistants, n'ont souvent pas conscience d'être des cibles privilégiées des cybercriminels, ce qui les rend d'autant plus vulnérables aux attaques. Dès ...