Par Kevin Polizzi, Président Unitel Group La récente nomination de Michel Barnier au sein du gouvernement français marque un changement de cap significatif, notamment en ce qui concerne la stratégie numérique de la France et de l’Europe. Fort d'une carrière politique riche, tant au niveau national qu’européen, le nouveau Premier ministre est une figure respectée pour son expertise dans des domaines cruciaux tels que les négociations commerciales et la régulation. Cependant, c'est son influence potentielle sur les questions numériques qui suscite aujourd'hui un espoir particulier. Une expertise européenne au service du numérique Michel Barnier est avant tout un Européen convaincu, qui a joué un rôle clé dans des dossiers d’envergure, notamment comme négociateur en chef du Brexit pour l'Union européenne. Cette expérience le place en position idéale pour aborder les problématiques numériques avec une vision transnationale. Dans un monde de plus en plus interconnecté, où
Les constructeurs de téléviseurs font progressivement basculer leur gamme dans la TV connectée c'est-à-dire des télés qui sont connectées à internet et qui, à la manière des tablettes et smartphones, proposent des applications pour consulter la météo, voir un film en vidéo à la demande (VOD), mettre à jour son profil Facebook voire surfer sur internet. Malgré ces promesses, les TV connectées ont du mal à décoller puisque selon une enquête Analysys Mason réalisée dans 5 pays d’Europe (France, Allemagne, Pologne, Espagne, et Royaume-Uni) et aux Etats-Unis, plus de 50% des possesseurs de Smart TV ne l’ont pas connectée à internet ! Pour autant le parc de Smart TV ne va pas cesser de croître. 60 millions de TV connectées ont été vendues en 2012 dans le monde, et 50% des TV vendues seront des Smart TV à partir de 2015. En 2017, 31% des foyers de la planète en seront équipés. Dès lors l'émergence de ce marché de masse s'accompagne bien souvent de questions de sécurité. &