Par Pascal Lardellier , Université de Bourgogne et Emmanuel Carré , Excelia Les réseaux sociaux sont devenus incontournables dans les campagnes électorales. À la veille d’élections américaines cruciales, on peut se demander quelle est leur influence réelle sur le vote des électeurs. Cette question fait l’objet de débats et d’études scientifiques aux conclusions inattendues. Les campagnes électorales américaines donnent souvent l’occasion d’imaginer sinon d’anticiper les tendances que nous pourrions vivre à notre tour lors d’une prochaine échéance électorale en France. En 2024, la campagne entre Trump et Harris semble largement rythmée par les posts relayés sur « les réseaux sociaux » et en particulier sur Twitter devenu X. Comment analyser ce phénomène à quelques jours du scrutin américain ? Peut-on prédire que cela aura un impact sur le vote ? Depuis la campagne américaine de 2008, date à laquelle ils ont commencé à être fortement sollicités, les « réseaux sociaux »
A ppareils photos numériques, téléphones mobiles, baladeurs MP3, lecteurs de DVD ou ordinateurs portables, etc. ; jamais le besoin d'énergie en déplacement n'a été aussi important. Le secteur de l'électronique l'a bien compris, qui investit massivement pour améliorer sans cesse l'autonomie de nos gadgets. Les batteries sont ainsi passées rapidement de la technologie Nickel-Cadmium à celle du Lithion-Ion mais il reste encore du travail à faire pour oublier son ou ses chargeurs quelques jours. Tant et si bien que plusieurs constructeurs proposent aujourd'hui des batteries externes. Ainsi Philips* vient de lancer toute une gamme baptisée « Énergie Nomade. » (1) Objectif : proposer une petite batterie (dont la taille varie entre celles du paquet de cigarettes et de la cassette VHS) qui pourra recharger, grâce à différents connecteurs, toute notre batterie d'appareils mobiles. Chez Philips, ces accus d'appoint coûtent de 17 à 150 € et offrent une autonomie j