Une étude sectorielle de l’Afnic met en lumière le décalage croissant entre viticulteurs et reste du monde agricole en matière de présence en ligne. Très équipés, offensifs sur la publicité et structurés dans leur stratégie numérique, ils démontrent le potentiel encore largement sous-exploité du web dans l’agriculture. Dans un paysage agricole où la transition numérique demeure inégale, les viticulteurs apparaissent comme un groupe particulièrement en avance sur internet. L’étude sectorielle de l’Afnic (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération, qui gère les sites web en. fr), menée auprès de 1 002 TPE et PME du secteur entre juillet et août 2025, dresse un contraste net entre la filière viticole et l’ensemble des agriculteurs. Avec 79 % de sites internet actifs, contre seulement 27 % pour le reste du secteur, les viticulteurs ont ainsi fait du web un véritable levier d’activité. Leur présence sur les réseaux sociaux atteint 92 %, là où la m...
Comment répondre à l'insolent succès de l'encyclopédie gratuite et collaborative Wikipédia qui affiche 13 millions de visiteurs uniques par mois ? Pour Larousse, l'an passé, la conquête du web s'est faite avec un site faisant cohabiter du contenu produit par l'éditeur et des articles rédigés par les internautes. Pour Microsoft, autre stratégie : le repli. Le géant de Redmond a annoncé fin mars qu'il jetait l'éponge en fermant toutes ses activités relatives son encyclopédie Encarta. Dans ce contexte, les dictionnaires Le Robert aborde le web en lançant des formules payantes. Le Grand Robert, Le Petit Robert et le dictionnaire bilingue Robert & Collins sont désormais accessibles sur www.lerobert.com. Deux formules, trois et douze mois, et des prix allant de 9 € à 48 € pour un accès d'un an.